Trois ressortissantes haïtiennes qui faisaient partie d’un groupe de 34 rapatriés accueillis au bureau régional du GARR à Belladère, le 20 janvier 2016, se plaignent d’avoir été victimes de harcèlement sexuel. Ces agressions, selon elles, se sont produites par des militaires dominicains chargés de leur arrestation et de leur reconduction au centre carcéral de Haina, a-t-on lu dans une note du Groupe d’Appui aux Rapatriés et Réfugiés (GARR).